LE PARADOXE DES VIRUS
PREAMBULE
“Le jour où la science commencera à étudier les phénomènes non-physiques, elle fera plus de progrès en une décennie que dans tous les siècles précédents de son existence.”
Nikola Tesla
“Au cœur des phénomènes non-physiques est la physique de la masse 0. C’est l’information”.
Marie-Laure Becquelin
MASS ZERO
La physique est la science de la matière, dont les caractéristiques intrinsèques sont au nombre de 4 :
- La masse,
- La localisation,
- La forme,
- La temporalité.
En deca de la Physique est un état qui ne présente,
- Ni masse,
- Ni forme,
- Ni localisation,
- Ni temporalité.
Cet état que je nomme Masse 0, étudie les phénomènes situés en-deçà de la Physique, et qui gèrent la Physique. (Métaphysique)
C’est l’Information.
Elle est en toutes choses, guide chaque processus et orchestre l’ensemble.
(Voir l’article: Information, Mass 0).
LES VIRUS
L’étymologie du mot « virus » provient du latin « virus », signifiant à l’origine « venin de serpent » puis par extension « sécrétion de poison », ou toxique.
Cette définition semble correcte, les virus sont des toxiques sécrétés au niveau des cellules et/ou organes, agressés par des agents pathogènes.
Voir en fin de document : Une hypothèse basée sur l’étude du Professeur Fioranelli (Universite Marconi, Italie).
Ce postulat positionne l’existence des virus au sein de la phase des « conséquences » d’une pathologie. Cette chronologie bouleverse de facto les croyances et connaissances actuelles.
Selon ce nouveau lien de causalité établi entre agents pathogènes, maladie et virus :
- Qui sont les véritables agents pathogènes engendrant la maladie qui se révèle par le déchet toxique ?
- Comment ce déchet est-il produit ?
- Pourquoi en existe-t-il une telle diversité ?
LES AGENTS PATHOGENES
Ils se distinguent en 4 catégories, dont deux seules sont répertoriées par la science, l’autre moitié d’une importance majeure demeurant magistralement omise.
Ce sont:
1. Des substances chimiques toxiques
- Venins d’animaux,
- Poisons de plantes,
- Toxines de bactéries,
- Biocides et antibiotiques,
- Métaux lourds,
- Substances chimiques industrielles.
2. Des organismes vivants :
- Parasites variés
- Bactéries (produisant des toxines nocives).
- Champignons
NB : Ne pas confondre la toxine fabriquée par des bactéries avec le toxique ou poison, même si les toxines sont toxiques !
Contrairement aux « Virus », en laboratoire, les parasites et bactéries assimilés à des agents infectieux se purifient, s’isolent et s’identifient. Dès lors, il est envisageable de les combattre.
3. Les Radiations
Il existe toutes sortes de radiations, et si certaines sont bénéfiques, plusieurs sont très nocives.
Celles-ci sont :
- La radioactivité ambiante,
- Les réseaux mobiles,
- Les UV (augmentation dues au trou dans la couche d’ozone),
- Infrasons
- Des agents mutagènes dispersés par l’Homme dans l’environnement (radionucléides)
- Et bien d’autres
Ces radiations altèrent les cellules et organes, par leur action thermique, mais aussi par une action athermique, non encore définie à ce jour, ce que je propose d’élaborer de façon théorique.
Les rayonnements peuvent être pathogènes par différents types d’actions, mécaniques, électriques, thermiques et athermiques (Informationnel).
Mécanique
Par effet de résonance, les ondes peuvent briser des structures ; par exemple, un verre peut éclater avec une voix, un micro-organisme (bactérie) peut exploser, lorsqu’il est soumis à 2 fréquences (la plus haute étant 11 fois la plus basse).
Électrique
Stimulation électrique de tous les tissus du système nerveux dus à des courants induits dans les basses fréquences (<10MHz) peuvent parasiter le cerveau et stimuler les nerfs.
Effets thermiques
La DIA (Defense Intelligence Agency) a déclassifié quelques informations intéressantes évaluant l’impact des rayonnements sur les cellules vivantes.
Les effets thermiques peuvent être de simples brûlures cutanées (UV) mais aussi des thromboses. Lorsque les micro-ondes de la 5G chauffent l’hémoglobine du sang, cela crée des caillots tout comme le blanc d’œuf coagule a la cuisson. (L’hémoglobine et l’albumine sont des protéines qui coagulent à la chaleur).
La DIA mentionne que les effets athermiques n’ont pas encore été étudiés.
Effets athermiques
Les rayonnements interagissent avec les champs magnétiques existants et perturbent les « Informations » originelles véhiculées par ceux-ci.
Cela induit une « Perte de Fonction », qui se manifeste sous plusieurs formes, décrites ci-dessous.
1. Conditions aiguës temporaires :
- Anosmie (perte de l’odorat)
- Agueusie (perte du goût)
- Hypoxie (perte du rôle de l’hémoglobine, dans le transport de l’oxygène).
2. Cancer : prolifération cellulaire (pour assurer la survie de l’espèce qui se sent menacée)
3. Maladies auto-immunes : autodestruction cellulaire (par les cellules désinformées)
Les radiations peuvent être pathogènes par plusieurs actions sur les cellules et les organes.
Les « actions athermiques » sont pathogènes car elles induisent une « perte de fonction », qui provient de la « désinformation ».
4. L’information,
Il existe plusieurs concepts de l’«Information». Cette notion clé, au cœur de tout, est indispensable à la survie de cellules et organes, mais est aussi à l’origine de désordres.
Nous nous concentrerons ici sur « Information = masse 0 ».
(Voir article : 3 états, information, énergie et matière)
« L’Information, de masse 0 » est la programmation centrale de chaque cellule et organe :
- Elle préside à la création et à la destruction des cellules, elle maintient leur équilibre.
- Elle définit leur fonction et contrôle et optimise l’exécution des processus.
Et tandis que l’ « information correcte » maintient un équilibre sain et peut guérir… à l’inverse, l’ « information erronée » perturbe l’équilibre, induisant des dysfonctionnements pathogènes.
Les « informations erronées » ou la « désinformation » entraînent des « désordres ou pathologies d’origine informationnelle ».
La désinformation des cellules et des organes s’exprime de 2 manières :
- Perte de fonction, telle que l’anosmie, l’agueusie, l’hypoxie, le cancer et tous les dysfonctionnements immunitaires. (Comme vu plus haut, avec l’effet athermique des radiations).
- Gain de Fonction, qui peut prendre plusieurs formes ; il peut s’agir d’une bactérie informée (porteuse d’instructions) ou l’instruction peut être simplement diffusée numériquement.
Le gain de fonction peut aller de 2 manières, pour la santé et pour nuire.
De fausses informations vont aussi déstabiliser le Milieu, facilitant l’entrée d’autres agents pathogènes.
Il est utile de souligner que la Perte de Fonction peut être attribuée à la fois aux radiations et à l’Information. C’est parce que l’Information est transportée par les ondes et champs magnétiques. Ils fusionnent en quelque sorte, et la désinformation peut être causée par l’un ou l’autre, séparément et ensemble.
À l’inverse, le rayonnement n’a aucun rôle dans le « Gain de fonction ». La fonction ne peut pas être créée par les ondes ; elle ne peut être que corrompue (mauvaises ondes) ou harmonisée (bonnes ondes). Le Gain de fonction est une information de reprogrammation, créée par l’homme, généralement avec intention, et qui peut être diffusée numériquement pour affecter les cellules et les organes.
(Je ne suis pas spécialisée dans les radiations, et laisserai la terminologie exacte ainsi que la mesure aux spécialistes).
PATHOGENES ENTRANTS, DES VIRUS EN RÉPONSE
En réaction aux agressions, le corps humain libère des toxiques.
Le corps humain combat les pathogènes entrants, et les métabolise en libérant des déchets (produits toxiques) qui sont ensuite évacués. Ces toxiques sont appelés « virus ».
Pour se représenter cela, après un effort physique intense, on ressent des courbatures ; cela est dû à l’acide urique (une protéine de grande taille) qui est un résultat de métabolisation par le corps et qui s’accumule dans les articulations. C’est douloureux, on peut ressentir de la fatigue et même parfois une légère fièvre… Mais on n’appelle pas ça un virus.
Selon une hypothèse scientifique, les purines d’ADN métabolisées libèrent des déchets protéiques — similaires aux “virus”.
Ainsi, à chaque réponse ‘virale’ est associé un pathogène entrant, et il y a autant de virus qu’il y a d’agressions par les agents pathogènes entrants.
CONCLUSION
L’ennemi a changé. Le virus devient le signal, il permet de détecter la perturbation, il ne constitue pas la cause de la maladie. A partir de cette nouvelle base, il convient d’initier de nouveaux protocoles de recherche pour identifier les agents pathogènes entrants qui déclenchent la « réaction virale ». Ces agents pathogènes doivent être non seulement identifiables, mais également évitables. Ainsi, la direction vers le préventif garantira une santé parfaite plutôt que de lutter contre une maladie qui ne se manifeste que dans l’objectif de retrouver l’équilibre. Equilibre que la médecine actuelle entreprend de contrarier en s’évertuant à supprimer les symptômes qui agissent pour un retour à l’équilibre.
Etude du Pr Fioranelli, Université Marconi (Italie)
Le Pr Fioranelli, de l’Université Marconi (Italie) a démontré dans une étude publiée le 9 Juin 2020 que les ondes de la 5G créaient au sein des cellules des cavités de la forme du Covid-19. Son hypothèse est que le Covid-19 pourrait être engendré dans ces cavités, qui agiraient comme une sorte de moule.
Ma théorie est qu’à l’inverse, les cavités en forme de Covid-19 dans les cellules seraient simplement l’empreinte que le Covid-Toxique laisse derrière lui lorsqu’il est excrété sous forme de déchet, après avoir été généré par les cellules.
Marie-Laure Becquelin (23 Juin 2021)